Adrian Newman-Tancredi, PhD, DSc
Co-Fondateur et Président-Directeur Général
Le Dr. Newman-Tancredi a plus de 25 ans d'expérience de recherche pharmaceutique industrielle en neuroscience. Avant de co-fonder Neurolixis, il était Directeur d’une division de Neurobiologie et Chef de Projet au Laboratoire Pierre Fabre, où il a mené des programmes de recherche multidisciplinaires qui ont identifié et caractérisé de nouveau antipsychotiques, antidépresseurs et analgésiques. Avant Pierre Fabre, le Dr. Newman-Tancredi était responsable d'une équipe de recherche en pharmacologie moléculaire à l'Institut de Recherche Servier, où il a investigué la signalisation moléculaire des récepteurs monoaminergiques, tout en étant responsable du criblage in vitro de nouvelles entités chimiques pour les maladies du SNC.
Les composés caractérisés par le Dr. Newman-Tancredi au cours de ses recherches incluent le milnacipran (Savella ®), le piribedil (Trivastal ®), l’agomelatine (Valdoxan ®), le levomilnacipran (Fetzima ®) et le béfiradol (NLX-112). De plus, le Dr. Newman-Tancredi a dirigé les projets qui ont mené à la mise en développement de nouvelles entités chimiques tels que le nouvel 'agoniste biasé' sérotoninergique, F15599 (NLX-101).
Le Dr. Newman-Tancredi a une forte expérience du management d'équipe, ayant géré des collaborations avec des chimistes, des pharmacologues et des développeurs précliniques. Il a mis en place des collaborations avec des équipes académiques internationales, a publié plus de 200 articles dans des revues scientifiques internationales, co-signé des brevets sur des nouvelles molécules dans le domaine des maladies du SNC, et a effectué de nombreuses présentations orales dans des congrès internationaux. Le Dr. Newman-Tancredi est membre du 'Editorial Board' du International Journal of Neuropsychopharmacology, membre du Conseil de la International Society for Serotonin Research et intervient en tant que consultant indépendant en neuropharmacologie. Le Dr. Newman-Tancredi a reçu un BSc avec mention en Biochimie, suivi d'un PhD et d’un DSc en neuropharmacologie de l'Université de Kent à Canterbury (Angleterre).